Manger des produits sains et frais ? Oui, évidemment.
Un morceau de rivière à truite dense et productif ? Oui, bien sûr, et avec toutes les passions possibles de la Nature réunies.
Vers une autonomie alimentaire ? Certes, et c'est l'outil le plus puissant.
Mais pour nos enfants et petits enfants...préserver les réserves océaniques en proposant une alternative localement.
Chaque année, le jour du dépassement avance un peu plus, le 29 juillet en 2019.
Cela signifie que directement ou indirectement l’humanité termine l’année sur les réserves océaniques et marines.
Les scientifiques prévoient que ces réserves seront épuisées dans moins de 30 ans. Il est probable que ce soit avant car la rareté du poisson en fait son prix et stimule encore les prélèvements.
On a oublié, que il y a 50 ans encore, les peuples des continents se nourrissaient des poissons d’eau douce : truites, perches, sandres, brochets, carpes, fritures d’ablettes, de gardons etc. Les vidanges des étangs étaient annoncées dans les journaux locaux, et les citadins demandaient à des amis ou de la famille de ramener quelques bons poissons.
Les rivières regorgeaient de truites et autres bons poissons, et les pêcheurs pouvaient en alimenter leur famille. Les poissons d’eau douce sont maintenant oubliés, et les rivières en grandes difficultés.
Face à ce problème local et mondial, il est important de redécouvrir le potentiel de production de protéines animales gigantesque des eaux douces, c’est ce que montre la pratique de l’Aquaponie Naturelle, et même dans quelques centaines de litres chez les particuliers.
Une des solutions ?
Le Rapport de 2015 de l'EPRS (European Parliamentary Research Service) dans "10 technologies qui pourraient changer nos vies" place, l'aquaponie en n°8.
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